Comme beaucoup d’autres groupes, le CTAQ participe aux travaux du laboratoire des systèmes alimentaires (projet du CERIEC et de La Transformerie) depuis ses débuts. Dans le cadre de la phase 2, nous participons à deux sous-comités/projets :
• Projet D : Espaces de mutualisation de ressources et d’équipements
• Projet F : Programme d’éducation sur les systèmes alimentaires circulaires
L’objectif de la présence du CTAQ est d’assurer une représentation du secteur de la transformation alimentaire dans les projets qui seront mis en place.
Pour rappel, 11 pistes de projets d’expérimentation ont été codéveloppées dans la phase 1 pour tester sur le terrain les 18 solutions précédemment cocréées. Ces solutions visent à lever les 21 freins profonds à la circularité des ressources des systèmes alimentaires co-identifiés par les participants au Lab.
Les 11 pistes sont les suivantes :
• Certification « Aliments circulaires du Québec »
• Emballages circulaires
• Bibliothèques territoriales de données sur la circularité
• Espaces de mutualisation de ressources et d’équipements
• Évaluation d’initiatives bioalimentaires circulaires pour sensibiliser
• Programme d’éducation sur les systèmes alimentaires circulaires
• Outils de communication et de sensibilisation pour l’agriculture et les pêcheries
• Outils de financement et leviers fiscaux pour favoriser la circularité
• Gouvernance territoriale pour les systèmes alimentaires circulaires
• Indicateurs de circularité
• Étude de relations et influences entre production et consommation
En outre les ingrédients essentiels pour développer les projets sont :
• La circularité : réduire et optimiser l’utilisation des ressources, intensifier l’usage et allonger la durée de vie des produits et donner une nouvelle vie aux ressources en fin de cycle des produits ;
• La recherche et l’innovation : développer, documenter et transférer des nouvelles connaissances et pratiques ;
• La Cocréation : solutions cocréées par les personnes du milieu pour les personnes du milieu ;
• Les retombées partagées : documenter et rendre facilement accessibles les méthodes et résultats de l’expérimentation pour tout le secteur et la collectivité ;
• L’expérimentation terrain : développer des solutions pratiques et applicables dans un contexte réel.
